Numéro de la publication:
20
Année de parution:
2010
L'écriture du deuil tente, selon Pierre Ouellet, de «dire l’indicible perte de la personne aimée». Le recueil Des ombres portées de Paul Chanel Malenfant en est un vif exemple. L’œuvre est divisée en quatre parties intitulées respectivement: «Douleurs », «Deuils», «Mystères de la nuit» et «Adieux». Elle met en scène un sujet plongé dans un processus de deuil, processus qui s’effectue dans un espace intérieur que ce dernier crée afin de se soustraire à la vérité d’un « réel » où la mort de l’être cher est irréversible. Le sujet aménage alors un lieu à l’intérieur de lui-même où il cherche à rejoindre cette « défunte3 », source même du manque, devenue objet du désir.
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Pour citer ce document:
La lumière comme rythme du sujet dans les «Des ombres portées». Exerxice de poétique et de sémiotique tensive ». Dans Textures lumineurses. Éblouissements, ombres et obscurités. Article d’un cahier Figura. En ligne sur le site de l’Observatoire de l’imaginaire contemporain. <https://oic.uqam.ca/fr/articles/la-lumiere-comme-rythme-du-sujet-dans-des-ombres-portees-exercice-de-poetique-et-de>. Consulté le 1 mai 2023. D’abord paru dans ( (dir.). 2010. Montréal : Figura, Centre de recherche sur le texte et l'imaginaire. coll. Figura, vol. 23, p. 81-104).
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