Médiathèque

Conférence

Université du Québec à Montréal

Brouhaha, les mondes du contemporain

Ruffel, Lionel
Gervais, Bertrand
Le 27 avril 2016, dans le cadre du colloque «Narrations contemporaines: écrans, médias et documents», s'est tenue à la Librairie Le Port de tête, une rencontre littéraire avec Lionel Ruffel, à l'occasion de la parution de son essai «Brouhaha, les mondes du contemporain».
Journée d'étude

Université du Québec à Montréal

Artisans du désastre: figures et formes de la destruction dans le roman français et québécois contemporains

Organisateur(s):
Chassay, Jean-François
Voyer, Marie-Hélène
Le désastre peut-il être conçu comme une œuvre? Cette posture peut sembler quelque peu paradoxale et cynique, mais on peut, à tout le moins, concevoir le désastre comme une fabrique. Le désastre nécessite aussi des vertus de patience, d'insoumission, d'acharnement et de discrétion pour le fomenter, le fabriquer et le construire.
Colloque

Université du Québec à Montréal

Rhétoriques de la tolérance dans les littératures et le cinéma francophones

Organisateur(s):
Akpemado, Komi Edinam
Bazié, Isaac
Uwe, Christian
Les rhétoriques de la tolérance se sont multipliées ces dernières décennies, en raison du choc en retour qui accompagne les discours apologétiques sur la traversée des frontières, la mondialisation et les questions complexes relatives au vivre-ensemble.
Conférence

Université du Québec à Montréal

Rencontre avec l’écrivaine Hélène Frédérick: Du seuil de l'atelier, un renversement

Frédérick, Hélène
«Qu'attend-on au juste d'une conférence d'écrivain? Sans bien connaitre la réponse je sais que je dois construire un temps passé de l'écriture qui, mis en voix, deviendra sous vos yeux un temps présent de la parole. Pour entamer cette construction, je pense à ce qui nous relie.
Conférence

Université Concordia

Langage de la colonisation

Giroux, Dalie
Morisset, Jean
Ce deuxième atelier du chantier de recherche «Traduire les humanités» a pour but de travailler sur une hypothèse de Jean Morisset selon laquelle l'État colonial canadien se pense d'abord en anglais, jamais en français ni dans les langues autochtones.

Pages