À l'indignation populaire suscitée par l'attentat contre Jean-Paul Marat, André Chénier opposa, dans son ode «À Marie-Anne Charlotte Corday», son propre sentiment d'injustice devant le sort réservé à la meurtrière. Geneviève Lafrance s'intéresse ici à la façon dont le «juste hommage» rendu par Chénier à Corday puise à même le grand bassin d'images et de motifs à l'aide desquels s'exprima la colère de ceux qui vilipendèrent Corday et regrettèrent l'Ami du peuple. [Site web du CRIST]
OBSERVATOIRE DE L'IMAGINAIRE CONTEMPORAIN