sacré

Conférence

Université Concordia

Translating Tomorrow People

Skawennati
Dans le cadre du chantier de recherche Traduire les humanités, dirigé par Pier-Pascale Boulanger (Université Concordia) et Karina Chagnon (UQAM), l'artiste Skawennati présente sa récente exposition solo «Le monde de demain», présentée du 4 février au 18 mars 2017 à la galerie OBORO.
Conférence

Université du Québec à Montréal

Toucher à l'image, toucher à la mort. Des masques mortuaires chez Heidegger et Blanchot

Alloa, Emmanuel
Programme de recherche RADICAL
Emmanuel Alloa construit sa conférence à partir d'une méditation brève, mais puissante, de Maurice Blanchot sur les forces de l'image, réflexion qui se bâtit dans un petit texte, «Les deux versions de l'imaginaire» publié dans «L'espace littéraire» en 1951.
Conférence

Université du Québec à Montréal

Performing Bilingualism

Fletcher, Jerome
Cette conférence aborde les questions de la traduction de l'oeuvre hypermédiatique - de la langue et du code - ainsi que de la performance et son rôle dans la littérature hypermédiatique à partir de l'oeuvre «...Reusement» de Jerome Fletcher.

La réception citoyenne de «Golgotha picnic»: de l’art et de la religion

«Golgotha picnic a fait l'objet d'une importante controverse dans les sphères politiques, religieuses, médiatiques et journalistiques, mais la pièce a aussi suscité d'importantes réactions dans la population, qu'ils s'agissent d'applaudissements ou de reproches. Les citoyens ont pris la parole dans l'espace publique, entre autres, dans les commentaires à la suite d'articles journalistiques pour partager leur point de vue sur la pièce, qu'ils l'aient vue ou non.

Le jardin de Mary Reynolds: Réflexions horticoles dans le film «Dare To Be Wild» de Vivienne de Courcy

Il est parfois nécessaire que quelqu’un rende visible le végétal pour que nous y portions attention, pour que nous ayons envie de le préserver dans son état sauvage. Un bon exemple d’une telle initiative peut être retrouvé dans l’histoire du parc national de la vallée de Yosemite mentionnée par Bénédicte Ramade dans son questionnement sur l’art écologique, qui montre que les premières pressions exercées sur les décideurs politiques en faveur de la protection de sites naturels ont commencé, dès 1861, grâce à une série de clichés pris par le photographe Carleton Watkins dans la vallée de Yosemite.

La fiction: une catégorie opératoire pour défendre l’art?

«Faut-il protéger davantage la création que les autres formes d'expression? Si oui, comment défend-t-on l'art autrement que par l'argument de l'exception artistique? Cet argument part du présupposé qu'il faut appréhender l'oeuvre d'art, et en particulier l'oeuvre littéraire, avec des catégories de réception distinctes des autres formes d'expression. On se heurte alors à la question insoluble de la définition de l'art et de ses limites.

«Golgotha picnic» dans la presse: du débat esthétique à la polémique religieuse

Les participantes ont travaillé à partir des articles qui font écho à la polémique entourant la représentation de la pièce Golgotha picnic et qui ont contribué à la nourrir. Elles identifieront «les trois principaux types d'arguments qui sont mobilisés pour arbitrer la polémique» et il s'agira également des trois angles qui constitueront leur présentation. Tout d'abord, elles aborderont «les arguments qui portent sur le caractère de la pièce potentiellement blasphématoire, voir chirstianophobe».

La profanation de la religion: le dilemme du droit pénal entre culte et culture

Le participant remarque plusieurs paradoxes dans la présente journée d'étude. «Le premier paradoxe consiste a envisagé la répression de l'art,  alors même que l'art est une forme d'expression qui semble, au contraire, s'affranchir naturellement des contraintes. Le deuxième paradoxe consiste à étudier une oeuvre théâtrale blasphématoire et à se pencher sur son sort judiciaire dans un pays qui ne connait pourtant pas d'infraction de blasphème.

La circularité de l’espace dans «Paterson» de Jim Jarmusch

Dès ses premiers long-métrages au début des années 1980, Jim Jarmusch a su inscrire sa filmographie dans la continuité du courant postmoderne amorcé au tournant des années soixante, où rupture et métamorphose déconstruisent l’œuvre filmique pour la réagencer dans un nouveau souffle.
S'abonner à RSS - sacré