«Faire son temps». Guy Debord historien de l'avant-garde
On sait comment Guy Debord revient, dans son dernier film, In Girum Imus Nocte et Consumimur Igni (1978) –«l’histoire de ma vie»–, comme d’ailleurs dans Panégyrique (1989) –texte où il entreprend «aussi froidement que possible» d'écrire «ce que j’ai fait»–, sur l’aventure situationniste alors même que passe et disparaît le rêve révolutionnaire.