Source: Astrid Girardeau dans Écrans.
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Un jeu vidéo qui serait une métaphore poignante de la vie, on tend l’oreille. Des joueurs racontant avoir pleuré devant le jeu, d’autres déclarant que c’est juste chiant, on s’interroge. Un graphisme en gros pixels et une histoire qui dure irrévocablement cinq minutes, on s’impatiente de l’essayer.
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