Le « freestyle gaming » permet de s’affranchir des règles.
« Launch Station » et le lancer de Warthogs. DR
Marre d’être esclave du jeu, asservi à des scénarios prévus à l’avance par des développeurs tyranniques qui posent les frontières (jusqu’ici et pas au-delà), érigent les règles (ceci est bien, ceci est mal), donnent des points pour bonne conduite. Que se passe-t-il lorsqu’on ne fait pas ce qu’on attend de nous, lorsqu’on refuse de suivre aveuglément les consignes, lorsqu’on va à l’encontre de ce qui est prévu, lorsqu’on joue à contre-emploi, interrogeait le magazine branché allemand De-Bug dans un article consacré au « freestyle gaming ». Parmi les suggestions pour casser ces règles et en ériger de nouvelles : essayer de finir Quake sans tuer un seul adversaire, remplir toutes les missions de GTA à pied, gagner Mario Kart en marche arrière. Ou carrément refuser le jeu et faire le touriste comme dans le machinima (animation tournée à l’intérieur d’un jeu vidéo) de Jim Munroe, My Trip to Liberty City, qui prend à revers GTA et ses courses de voyous au volant de bolides dans les rues de Miami, en proposant une flânerie à pied dans les recoins de la ville inaccessibles aux voitures.
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