«Sombrer»: Avant-propos, suivi de «Sombrer»
Dans tous les cas, Sombrer manifeste, par sa narration, le type de regard qu’une explosion (provoquée par la sémiotique et les théories des formes de vie) peut générer dans l’être-au-monde d’un interprétant donné. Toutefois, les explosions prenant place dans le récit sont de toute autre nature. Cette parallaxe, pour ce qui est de la narration, permet de mettre en scène le type d’attention particulière aux formes que prend la vie, et ce, des gestes les plus intimes aux mouvements les plus généralisés.