«Ces jeunes sont souvent catégorisés d'enfants d'immigrés, de seconde génération, Français de papiers, mais souvent traités d'étrangers. Généralement parqués dans les territoire perdus de la République, dans les banlieues pauvres et les autres milieux défavorisés, voire dévalorisés. Leur teint basané ne correspond pas à la couleur locale de l'Hexagone. De qui s'agit-il si ce n'est des Beurs?»
Dans cette communication, David Yesaya commencera par revisiter le terme Beur, tout en évoquant les réalités socio-culturelles auxquelles il renvoie. Yesaya abordera ensuite la notion de tolérance dans deux oeuvres de Mehdi Charef: Le Thé au harem d'Archimède et Le harki de Meriem.