Entre peur et horreur: «C’était une belle journée»
Pour débuter sa communication, Lorène Trémerel pose l'hypothèse que malgré la «volonté d'éveiller véritablement les consciences, la saga Cloverfield provoque davantage une peur psychologique nous amenant à réfléchir sur notre condition humaine et les désastres que provoque le passage de l'être humain sur Terre.»