Collaborateurs

Patrick Imbert, Ph.D, est né en 1974. Il est professeur titulaire à l’Université d’Ottawa et a une Chaire de recherche intitulée: «Canada: Les défis sociaux et culturels dans une société du savoir». Il a été directeur exécutif de l’International American Studies Association (2005-2009) et a été élu  Président de l’Académie des arts et des sciences humaines de la Société royale du Canada en 2009.  Il est vice-président de la Cité des Cultures de la paix et directeur d’un projet subventionné par le Conseil de recherche en sciences humaines du Canada  (2010-2013) qui est intitulé «Établir des paradigmes opératoires pour comparer les variations discursives dans les Amériques menant des identités enracinées, de leur inclusion ou exclusion, aux identités transculturelles dans le contexte de la glocalisation».

 

Lucie Joubert est professeure titulaire au département de français de l'Université d'Ottawa. Ses champs d'intérêt concernent la théorie féministe, la littérature québécoise contemporaine, le roman français au féminin et les théories de l'ironie et de l'humour. Elle a fait paraître, entre autres livres, L'envers du landau. Regard extérieur sur la maternité et ses débordements (Triptyque, 2010), L'Humour du sexe : le rire des filles (Triptyque, 2002) et Le Carquois de velours : l'ironie au féminin dans la littérature québécoise (1960-1980) (L'Hexagone, 1998).

Kasereka Kawvahirehi, Ph.D. (Queen's, 2003), est professeur agrégé au Département de français de l'Université d'Ottawa. Ses champs d'intérêts concernent les littératures francophones d'Afrique et des Antilles, la littérature et les sciences humaines, les théories postcoloniales et la philosophie africaine. Il mène présentement des recherches sur «Le discours négro-africain et la crise de la modernité. À la recherche d'un humanisme post-continental» (CRSH, 2010-2013). Il a publié plusieurs essais et recueils de poésie. 

Catherine Khordoc est professeure associée au Département de français de l’Université Carleton, à Ottawa. Elle s’intéresse aux littératures québécoise et francophone contemporaine, aux «écritures migrantes», aux écritures transculturelles, au plurilinguisme et à la figure de la tour de Babel dans la littérature contemporaine. Elle a d’ailleurs publié à ce sujet Tours et détours: Le mythe de Babel dans la littérature contemporaine aux Presses de l’Université d’Ottawa en 2012. Avant d’être engagée à Carleton, elle a enseigné les littératures française et québécoise en Suisse et à l’Université de Limerick, en Irlande. Elle est membre fondatrice, avec Sarah Casteel (Département d’anglais, Université Carleton) et Ming Tiampo (Département d’histoire de l’art, Université Carleton) du CTCA, le Centre for Transnational Cultural Analysis

Zishad Lak est étudiante à la maîtrise en études littéraires à l'Université Laval. Son mémoire aborde la question de la vraisemblance dans les récits contemporains qui traitent de la métamorphose.

Désirée Lamoureux est doctorante au Département de French Studies à l’Université de Western Ontario. Spécialiste de littérature concentrationnaire, elle s’intéresse à la dialectique du bourreau nazi dans les romans contemporains d’expression française. Elle a signé de sa plume quelques articles, analytiques et critiques, dont «L’"ajourage" de l’œuvre: une mise en lumière des Bienveillantes de Jonathan Littell»  et «Oxymore moderne: le bourreau fiable» chez @nalyses, et «Victimisation double: la figure du Musulman» chez La Pensée et les Hommes. Mis à part ses recherches académiques, elle s’implique à tous les niveaux de la vie étudiante en tant que Trésorière de la Fédération canadienne des étudiantes et des étudiants-Ontario et Vice-présidente des services finances à la Society of Graduate Studies.

Jonathan Lamy est chercheur postdoctoral au Centre de recherche interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoises (CRILCQ) de l’Université Laval. Son projet de recherche (CRSH) porte sur la performativité et la pluridisciplinarité des littératures québécoise et autochtone actuelles. Également performeur et critique, il a complété un doctorat en sémiologie à l’UQAM et a publié deux livres de poésie aux Éditions du Noroît.

Pierre-Luc Landry est professeur à temps partiel et chercheur postdoctoral (CRSH) au Département de français de la Faculté des arts de l'Université d'Ottawa. Il détient un doctorat en études littéraires grâce à une thèse de recherche-création qu'il a soutenue à l'Université Laval en 2013. Il est membre fondateur de la revue numérique de création et de réflexion Le Crachoir de Flaubert. Il a fait partie de l'équipe de l'observatoire de la littérature contemporaine Salon double de 2009 à 2014 et a été auxiliaire de recherche au Centre de recherche interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoise (CRILCQ) de 2007 à 2011. Son premier roman, L'équation du temps, a été publié en 2013 aux Éditions Druide, à Montréal, sous la direction littéraire de Normand de Bellefeuille.

Francis Langevin est lecturer au département d’Études françaises de l’Université de Toronto. Il aime souvent laisser entendre qu’il travaille sur Bay Street, ce qui est techniquement et géographiquement assez vrai. Ses recherches portent, d’une part, sur les représentations des régions dans le roman québécois et français contemporains et, d’autre part, sur les théories du récit et les rapports entre le style et les valeurs.

Chantal Lapeyre-Desmaison est maître de conférences (HDR) à l'IUFM/Université de Bourgogne, membre de l'équipe Telem/Modernités. Elle est l'auteur de Mémoires de l'Origine (Les Flohic, 2001, Galilée, 2006). Elle a également publié deux livres d'entretiens (Pascal Quignard Le solitaire, Les Flohic, 2001, Galilée, 2006 et Fenêtre au crépuscule, avec Richard Millet, La Table ronde, 2004).

Daniel S. Larangé est maître de conférences à la 9e section du CNU. Il enseigne la littérature française à l’université Åbo Akademi en Finlande. Il est l’auteur de nombreux ouvrages et articles, notamment sur la déshumanisation à l’heure de la mondialisation et de la numérisation. Il consacre une partie de ses recherches à la littérature française et francophone des XXe et XXIe siècles. Membre du CRIST (Montréal), du CIRCE (Paris) et du CELIS (Clermont-Ferrand), ses méthodes d’investigation relèvent de la sociocritique et de la sociopoétique des textes.
 

Stéphane Larrivée est doctorant en cotutelle de thèse sous la direction d’Andrée Mercier (Université Laval) et d’Emmanuel Bouju (Université Rennes 2). Ses recherches portent sur les enjeux narratifs des œuvres de José Saramago, de Jean Rouaud et de Thomas Bernhard. En 2010, il a déposé son mémoire de maîtrise intitulé «Autorité de la voix narrative. Récit et commentaire dans les romans Lust et Avidité d’Elfriede Jelinek».

Hélène Laurin est chercheure postdoctorale à l'École d'études politiques de l'Université d'Ottawa. Elle mène un projet de recherche au sujet des processus de valorisation articulés par les expositions de musée portant sur la musique populaire. Elle est détentrice d'un PhD en études de la communication de l'Université McGill; sa thèse portait sur les autobiographies du groupe Mötley Crüe. Elle aime explorer les manières dont les personnes, les choses et les événements prennent et/ou perdent de la valeur.

Julien Lefort-Favreau est détenteur d’un doctorat en études littéraires de l’Université du Québec à Montréal. Sa thèse, réalisée sous la direction de Jean-François Hamel, porte sur les politiques de la littérature dans l'œuvre autobiographique de Pierre Guyotat Il est présentement chercheur postdoctoral au Département d’Études françaises de l’Université de Toronto, où il travaille avec Barbara Havercroft sur les récits autobiographiques français traitant du militantisme gauchiste de 1965 à 1975. Il est membre associé du centre Figura et du GRELFA. Il est également directeur du cahier critique de la revue Liberté.