Collaborateurs

Pierre Popovic est professeur de littérature à l’Université de Montréal. Fondateur et codirecteur (avec Geneviève Lafrance [UQAM]) du CRIST (Centre de recherche interuniversitaire en sociocritique des textes), membre de FIGURA, on lui doit:

            - des essais (La Contradiction du poème, Éditions Balzac, 1992 ; Imaginaire social et folie littéraire. Le second Empire de Paulin Gagne, PUM, 2008 ; La Mélancolie des Misérables. Essai de sociocritique, Le Quartanier, 2013) ;

            - une douzaine d’ouvrages collectifs (les plus récents sont Actualité de la sociocritique [avec Patrick Maurus] chez L’Harmattan, et Les exceptions françaises [avec Sylvain David]) ;

            - de très nombreux articles (dans Études françaises, Pratiques, la Revue des sciences humaines, Romantisme, Orpheus, Spirale, Voix & Images, Jeu/Revue de théâtre),

            - de la théorie-fiction (Un livre dont vous êtes l’intellectuel [avec Michel Biron]),

            - de la poésie (Cellules sans tumeur, Cérémonial pour un massacre),

            - un recueil de nouvelles (Le Dzi)

            - et une multitude de petites autres choses.

            Ses travaux actuels portent sur les représentations littéraires de la ville et de la torture d’état, sur le concept d’imaginaire social et sur l’apport de la sémiotique à la sociocritique des textes.

Rachel Nadon est étudiante au doctorat à l'Université de Montréal. Elle a récemment déposé un mémoire intitulé «La résistance en héritage: le discours culturel des essayistes de Liberté (2006-2011)». Elle fait notamment partie du comité organisateur de l'événement Mots et images de la résistance.  

Docteur en Littérature française depuis mars 2012, Rana El Gharbie a effectué toutes ses études universitaires à Paris-Sorbonne (Paris IV). Sa thèse porte sur «Les journaux personnels de Jean Cocteau». Résidante à Montréal depuis un an, elle poursuit activement ses travaux de recherche. Spécialiste de Jean Cocteau, elle s’intéresse également à la notion des genres littéraires, aux différentes formes d’écritures personnelles, aux théories de la réception et aux rapports entre la littérature et le cinéma. 

ranaelgharbie@gmail.com

Dominique Raymond de l'Université Laval, aspirante au grade de PhD, décortique la relation entre le lecteur - vous peut-être? - et le texte à contraintes. Candidats aux sondages svp s'abstenir, il s'agit de sémiotique de la lecture. Elle est l'un des quatre membres fondateurs du Salon double.

 

Bachelière en études littéraires de l’Université de Sherbrooke, Kiev Renaud poursuit ses études au deuxième cycle à l’Université McGill. Elle est membre du comité de lecture de la revue Jet d’encre.

Alice Richir a entamé en octobre 2010 une thèse de doctorat intitulée Écriture et fantasme chez Tanguy Viel et Jean-Philippe Toussaint : diffraction littéraire de l'identité. Elle travaille au sein du groupe de recherches Dialogisme et Invention Littéraires de l’Université Catholique de Louvain, qui s’efforce d’étudier la littérature contemporaine tout en se déprenant des postulats théoriques qu’elle a elle-même mis en crise. Ses recherches visent l’élaboration de nouvelles stratégies critiques démontrant la capacité de la littérature à radiographier les discours contemporains et à les renouveler avant qu’ils ne se figent. Elle s’intéresse plus particulièrement à la littérature et à la bande dessinée francophones.

Annie Rioux vit et écrit à Montréal. Membre fondateur de Salon Double.

Salon double est le compte d'utilisateur du comité de direction et de rédaction de l'observatoire. 

Sylvano Santini est professeur au département d’études littéraires de l’UQÀM où il enseigne la sémiologie tardive à partir des Grecs. Chercheur régulier au centre de recherche sur le texte et l’imaginaire (Figura), il s'intéresse présentement à la relation performative de la littérature au cinéma dans le cadre des activités du projet-équipe « Radical » (Repères pour une articulation des dimensions culturelles, artistiques et littéraires de l’imaginaire contemporain). Il est membre du comité de rédaction du magazine Spirale et responsable de l’émission en ligne « Mondes Contemporains » de Radio-Spirale pour laquelle il réalise également des documentaires audio.

Chloé Savoie-Bernard est candidate au doctorat au Département des littératures françaises à l’Université de Montréal, où ses recherches portent sur les filiations intellectuelles dans les romans québécois et français contemporains. Son mémoire de maîtrise était consacré au déplacement dans le Journal de Marie Uguay. Elle s’intéresse également à la construction de l’histoire littéraire.

Phillip Schube-Coquereau prépare une thèse de doctorat en lettres à l’Université du Québec à Rimouski. Il y agit aussi à titre de chargé de cours et d’auxiliaire de recherche. Ses travaux se penchent sur la légitimité épistémologique d’approches critiques récentes – analyse du discours littéraire, narratologie postclassique énonciative, non-mimétique, etc. – et sur les enjeux paradigmatiques et critiques soulevés par ce qu'il désigne par le concept de spectacularisation de la fiction contemporaine dont il étudie les formes. De ces travaux sont issues quelques contributions à des périodiques et des collectifs (Protée, Temps zéro, etc.)

 

Mathieu Simard est étudiant à l’Université McGill. Le mémoire qu’il y rédige porte sur la poétique bilingue de l’écrivain franco-ontarien Patrice Desbiens. Membre du Centre de la francophonie des Amériques, Mathieu a présenté ses recherches dans de nombreux colloques au Canada comme en Europe.

Mélodie Simard-Houde est étudiante au doctorat en cotutelle, en études littéraires à l'Université Laval et en littérature française à l’Université Paul-Valéry à Montpellier. Ses recherches portent sur la représentation du reporter dans le grand reportage et les fictions qui s’en inspirent, entre 1870 et 1940. C'est cependant avec un même intérêt qu'elle se penche sur la production contemporaine.

Charles Singher est étudiant à la maîtrise en littérature à l'université de Montréal. Il a publié un poème au Crachoir de Flaubert. Il participe à la revue D'ici là, publiée par la maison d'édition numérique Publie.net.

Maïté Snauwaert est l’auteure de Philippe Forest, la littérature à contretemps (Nantes Cécile Defaut, 2012). Ses publications en ligne incluent “Physique du deuil. Note sur la dernière vie de Roland Barthes” (Temps zéro 6, 2013); “Les Années d’Annie Ernaux: La forme d’une vie de femme” (Revue critique de fixxion française contemporaine 4, 2012). Elle a récemment dirigé les dossiers «Marguerite Duras : L’image critique» (Dalhousie French Studies 95, 2011), «Barthes écrivain» (Spirale 232, 2010), et en collaboration, «Responsabilités de la littérature: vers une éthique de l’expérience» (Études françaises 46, 1, 2010). Présidente du Jury francophone du Prix Gabrielle-Roy 2013, chroniqueuse pour la section Essai et Études littéraires de la revue Lettres québécoises, et contributrice régulière du magazine Spirale, elle est professeure adjointe à l’Université de l’Alberta au Canada.