La traversée
(Crédits photo: Benoit Bordeleau)
O’shagg mon amour
- Graffiti
De plus en plus, le vide t’avale, cher ami; sur tes écorces
disparaissent les signes, plus rien ne s’y lit à présent.
- Claude Paradis
LIMINAIRE
(Crédits photo: Benoit Bordeleau)
O’shagg mon amour
- Graffiti
De plus en plus, le vide t’avale, cher ami; sur tes écorces
disparaissent les signes, plus rien ne s’y lit à présent.
- Claude Paradis
LIMINAIRE
Je ne sais pas lire dans les lignes de la main, ni dans celles des quartiers, mais je peux lire en moi ce que le quartier fait et dit, sous quelle forme il surgit. Au coin des rues, je croise souvenirs et pensées. Les images se superposent et je vois double; à la fois ce qui est là et ce qui n’est plus.