À la suite de la lecture de «La vie secrète des arbres», je me dis que je n’ai aucune difficulté avec son contexte, ce dont il parle –à savoir (c’est le sous-titre de la traduction anglaise, à laquelle je me réfère) le fait que les arbres ressentent quelque chose et qu’ils communiquent. Dire que les plantes, et spécifiquement les arbres, ont une vie commune, collective et sociale, parler de l’amour des plantes, de leur comportement d’accouplement, de leur amitié, de leur langage, de leur intelligence, dire qu’elles s’entretiennent et qu’elles se soignent, etc., je suis réceptif à tout ça.