roman

Conférence

Université du Québec à Montréal

Désirs de disparaître. Une traversée du roman français contemporain

Rabaté, Dominique
«Qui dira la joie qu’on éprouve à disparaître, à faire faux bond, à se soustraire, à tout laisser derrière soi, et à se fondre dans le paysage? Ces lignes de Christian Garcin dans Selon Vincent disent bien la force d’attraction impérieuse et romanesque d’un désir de disparaître.»
Cahiers Figura

Université du Québec à Montréal

Traduire le texte érotique

Directeur·trice(s):
Boulanger, Pier-Pascale
N° de la publication:
32
2013
La traduction du texte érotique est une tâche ardue parce qu'elle soulève la question des valeurs morales et littéraires rattachées à la représentation du sexe.
En examinant les représentations ethnographiques et littéraires des peuples autochtones dans les travaux de Marius Barbeau, cette conférence va explorer les conceptions nationalistes de l’identité canadienne découlant de l’effacement de l’Autre autochtone.
Conférence

Université du Québec à Montréal

Jean Genet: l'érotisme délogé

Castanet, Hervé
Vers 1953, Genet est affronté à une expérience cruciale qu’il décrit à deux reprises — il en sort bouleversé: «Quelque chose, dit-il, qui me paraissait ressembler à une pourriture était entrain de gangrener toute mon ancienne vision du monde.»

Marguerite Duras. La redéfinition de l'amour maternel

Évènements malheureux qui au-delà du ou de la journaliste qui les rapportera, dissimulent un voix, un état d'urgence, un appel au secours jamais crié par des mères désespérées, absentes ou silencieuses. Sans chercher à comprendre les causes, il y a surtout, et avant tout, un silence, une voix qui ne peut ou ne veut se faire entendre, parce qu'à la source d'un acte inacceptable socialement. Incompréhensible surtout.

La femme de la fin du monde. «La maladie de la mort» de Duras

Le féminin apocalyptique de Duras se situe précisément au coeur d'une absence de définition. Indifférente au regard de l'homme, la femme de «La maladie de la mort» engendre la terreur en ce qu'elle brouille les genres (sexuels, grammaticaux, textuels) et se pose passivement en amont de toute personnification genrée; avant toute grammaire, nom, pronom ou identification, elle demeure hors-différence de quelques conditions qui lui seraient imposées.

Pages

S'abonner à RSS - roman