La grève étudiante de 2012 a été, entre autres choses, un moment privilégié d’affrontement entre deux discours sur l’éducation : l’un strictement économique (gouvernemental) et l’autre d’abord politique (militant). Entre les deux se creuse un différend insurmontable, selon l’expression de Lyotard, à partir duquel se pose la question de la possibilité d’une alternative efficace, fédératrice à la pensée néolibérale. Nous sommes avenir, le manifeste de la CLASSE, problématise l’émergence d’une telle parole – et ses échecs, auxquels la littérature de fiction contemporaine oppose peut-être quelques pistes de solution. [Site web du CRIST]
OBSERVATOIRE DE L'IMAGINAIRE CONTEMPORAIN