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Écrire la ville-mère

Structurante, la «ville-femme» acquiert une configuration personnelle qui paraît liée au parcours symbolique du narrateur en quête d’identité. Il s’agira d’étudier ici, avec une perspective de psychanalyse littéraire, la représentation de la ville dans les romans de Marcotte, tout en les mettant en rapport avec le discours critique de l’auteur dans Écrire à Montréal (Boréal, 1997).

Description et déambulations. La ville d'Istanbul dans «Le livre noir» d'Orhan Pamuk

S’il existe plusieurs façons d’appréhender l’écriture et la lecture de la ville, les descriptions paysagères et le parcours des personnages sont certainement les stratégies textuelles les plus sollicitées pour déterminer la configuration urbaine du roman. La présente communication a pour objectif d’appréhender la ville comme un espace sémiotique, à travers justement les descriptions et les déambulations.

De la fragmentation au métissage urbain dans «Fascination» de Rachid Boudjedra

Dans le roman de Boudjedra, la construction imaginaire de la ville est le fruit d’une mise en relation de divers types de discours (littéraire, médiatique, publicitaire, intertextuel, etc.) dont l’enchevêtrement contribue à créer une représentation mouvante de la ville, à la fois marquée par les sens (la vue, l’ouïe et l’odorat) et les considérations historiques.

Fragmentation de la ville et du personnage dans le roman francophone d'Afrique. Le cas de «Tous les chemins mènent à l'Autre» de Janis Otsiemi

Dans ce roman, Otsiémi entreprend de montrer la dimension psychologique des bouleversements sociopolitiques en Afrique. Plongeant le lecteur dans le subconscient de Loye, un jeune habitant de Libreville, il présente un environnement urbain qui étouffe, écrase et broie l’individu.

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