L’auteur de cet article propose une lecture d'un récit d'expédition polaire dans lequel le froid agit à titre de point central en regroupant différentes représentations.
L’exploration du pôle Nord connaît au cours de la seconde moitié du XIXe siècle un essor spectaculaire. L’Allemagne et l’Autriche-Hongrie, qui s’étaient jusqu’ici tenues à l’écart de cette entreprise, y prennent en quelques décennies un rôle majeur.
La série de courtes fictions les Racontars arctiques, de l’auteur danois Jørn Riel, présente différents éléments de distanciation face à une représentation conventionnelle de l’Arctique en littérature.
Le roman de Tunström présente une déconstruction de l’espace nordique, lequel en vient à symboliser un idéal amoureux, alors qu’est projeté au Sud le désir de mort.
Avec Le buveur de lune, Göran Tunström renouvelle sa pratique d’écriture, se servant de l’Islande pour illustrer une réflexion sur le rapport de l’homme au monde.
Plusieurs romans québécois contemporains problématisent le Nord en recourant à l’intertextualité, particulièrement par le biais de la fiction états-unienne et de l’indétermination onomastique.
Cet article traite de deux figures essentielles et récurrentes dans la poésie québécoise, soit celles du froid et de l’accompagnement. L’auteur tente de les comprendre dans leur réciprocité et de cerner comment elles interviennent à la fois dans la représentation de l’espace, de l’identité et de l’altérité.