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A Definition, Classification, And Analysis of a Subclass of the Contemporary Horror Film, The Stalker Film 1978-1981
L’auteur définit le Stalker Film puis identifie les principaux films composant ce sous-genre. Un à un, elle soumet les films retenus (Halloween, Friday the 13th, Friday the 13th part 2, Prom Night, Terror Train, Graduation Day, Happy Birthday to Me, Hell Night et The Burning) à un examen structural et psychanalytique.
L’auteur s’intéresse à la réception cinématographique en Afrique du Sud et en Rhodésie du Nord (Zambie). Il décrit la participation spectatorielle et l’influence des films sur les jeux des habitants.
Critique du film La vie est belle de Benigni. L'auteur reproche au film de présenter les camps de concentration «comme un jeu» et au cinéaste de ne pas appliquer à la lettre les règles des camps.
Résumant la programmation du quinzième festival international du nouveau cinéma et de la vidéo, l'auteur constate un grand nombre de films de facture documentaire tournés en caméra subjective - au «je». Cette subjectivité crée une distance à la réception - «Ce jeu du documentaire [est] mis en doute par le spectateur». L'auteur soutient que le propos disparaîtrait derrière le cinéaste, devenu son propre sujet et qu'il devient difficile de distinguer le Je du Jeu, et la fiction de l'histoire vraie.
L'auteur s'intéresse à la production de sens du texte et aux stratégies de lecture et concentre sa réflexion sur le texte (et surtout, le film) parodique. Harries souligne la génération de sens provenant du spectateur lui-même sans considération pour les intentions des créateurs. Il questionne la séparation des spectateurs en deux groupes fixes qui seraient 'ceux qui comprennent' (la référence à l'élément parodié) et 'ceux qui ne comprennent pas' - il repasse pour cela les concepts de lecteur idéal, sujet sophistiqué, lecteur implicite, super-lecteur, etc.).
L’auteur examine l’interaction (interplay) « presque nietzschéenne du chaos et de l’ordre » dans le film de Renoir en s’intéressant principalement à l’utilisation de deux chansonnettes dans le film. Les quelques renvois au jeu concernent les expérimentations formelles des nouveaux romanciers (Robbe-Grillet, Sarraute) – ludisme non réaliste – et ne sont pas directement liés au sujet du texte.
L'article recense les aspects ludiques du film de Tykwer, et fait du jeu son principe unificateur. En soulignant le thème principal (temps et déterminisme), le principe formel dominant (la dialectique), de même que les systèmes narratifs convoqués par le film (l'histoire d'amour et le conte de fée), l'auteur se propose de dégager certaines des règles du jeu auquel Tykwer convie le spectateur.
Le Diberder propose de voir le jeu vidéo comme un concurent du cinéma, en ce sens qu'il pourvoit également des récits. Il s'attarde d'abord aux échanges entre les deux domaines, à la fois comme pure stratégie mercantile (le jeu vidéo, et maintenant le film, s'inscrivant dans une logique de produits dérivés), mais aussi comme hommage au septième art. Il remet en question l'interactivité dans les nouveaux médias et au cinéma.
L'auteur aborde l'analogie jeu vidéo/cinéma dans le film de Cronenberg, "eXistenZ". Appuyé par un entretien avec le réalisateur, il souligne de quelle façon le film, notamment au niveau du scénario et de la direction artistique, suscite la comparaison avec le jeu vidéo.
Levery constate deux attitudes opposées face à l'évolution technologique : celle des "chauvins carboniques", qui acceptent les limitations de l'existence humaine ; celle des "nouveaux gnostiques", qui cherchent à s'évader de leur prison corporelle à la recherche d'une immortalité cybernétique. Il repère ces deux conceptions dans les films "The Matrix" et "eXistenz", et prolonge l'analyse de chacun en fonction de deux intertextes, c'est-à-dire les conceptions de Jean Baudrillard et l'univers de Phillip K. Dick, respectivement.