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Recherche dans la filmographie: Incarné, Actualisation poétique

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Bliss

Référence filmographique
Artiste(s)/Concepteur(s): 
HALES, Chris
Année/date de parution: 
1998
L'écran est partagé en neuf éléments narratifs présentant une scène de bonheur (d'où le titre Bliss, inspiré d'une nouvelle de Katherine Mansfield) : un bébé heureux ; un bain chaud ; un gramophone produisant une douce musique ; ... Ces neuf scènes finissent cependant par être en proie au chaos et c'est au joueur de rétablir l'ordre en touchant stratégiquement l'écran. Par exemple, toucher la partie "bébé" calmera le bébé.

Les Mystères du Château de D...

Référence filmographique
Artiste(s)/Concepteur(s): 
HALES, Chris
Année/date de parution: 
1996
En touchant, via l'écran, les miroirs ou les sources de lumière, le joueur en apprend un peu plus sur le château (clin d'oeil à Man Ray) et ses habitants. Les miroirs s'attachent à montrer le passé tandis que les sources de lumière montreront le futur. En touchant un personnage, le joueur se verra offrir un vers de poésie. "A limited number of interaction moments".

Sally or the Bubble Burst

Référence filmographique
Artiste(s)/Concepteur(s): 
DOVE, Toni
Année/date de parution: 
2002
Élément charnière d'un "work in progress" nommé "Spectropia". Sally vit en 1931 où elle danse avec une bulle. Le joueur peut communiquer avec elle via le clavier ou par la voix. Une autre section du dvd-rom permet de faire parler des objets meublant le petit studio. Il est également possible de faire chanter Sally ou de lui faire émettre des sons par le truchement d'un clavier virtuel.

America's Finest

Référence filmographique
Artiste(s)/Concepteur(s): 
HERSHMAN LEESON, Lynn
Année/date de parution: 
1991-95
Le joueur tient physiquement le M-16 et regarde dans la mire où des scènes de violence impliquant cette arme lui sont montrées dès qu'il appuie sur la gachette. L'image du joueur est simultanément captée et "collée" aux scènes, plaçant ce dernier dans la position double de victime et de bourreau.

A Room of One's Own

Référence filmographique
Artiste(s)/Concepteur(s): 
HERSHMAN LEESON, Lynn
Année/date de parution: 
1990-93
Inspiré du kinophotographe d'Edison, "A Room..." force le spectateur à être voyeur d'une femme enjoignant pourtant d'emblée le premier de ne pas la regarder. Une chambre miniature réelle s'offre au regard du joueur et la focalisation de ce dernier détermine l'ordre des séquences présentées. Un miroir-écran renvoie simultanément au spectateur son propre regard s'observant lui-même observant la (les) scène(s).

Deep Contact

Référence filmographique
Artiste(s)/Concepteur(s): 
HERSHMAN LEESON, Lynn / Sara Roberts
Année/date de parution: 
1984-89
Chaque partie du corps de Marion, la guide, conduisent à différents univers (mots, audiovisualisations) dès que le joueur les touche via l'écran. Ce dernier peut choisir d'être périodiquement guidé par d'autres personnages.

Touchscreen

Référence filmographique
Artiste(s)/Concepteur(s): 
ANDERS, Anna / Klaus Gasteier
Année/date de parution: 
1998
«The installation makes contact, the desire to touch things, its only subject.» (anna-anders.de)
Touching the screen makes different random events occur. For example, if someone touches the screen, a girl appears and gives a kiss on the screen. If no one touches the screen for a long period of time, an image of a young blond girl might appear to attract attention. If the screen is touched by too many people at the same time, the interactive movie might answer with an infuriated response.

Silence Inexistant

Référence filmographique
Artiste(s)/Concepteur(s): 
LONGPRÉ, Philomène
Année/date de parution: 
2003
«SILENCE INEXISTANT (2003) présente un personnage virtuel projeté sur une structure cinétique. Affecté par le niveau de bruit dans la pièce, le personne réagit. Tout en essayant de se camoufler, le personnage virtuel essaie de fuir son espace défini durant les périodes les plus bruyantes. Au cours de cette situation, le mécanisme de la structure est activé, poussant le personnage à l’extérieur de son environnement. Le mouvement du mécanisme, autant que le changement des séquences vidéos, communiquent visuellement le concept d’un appel au silence.

Cycles

Référence filmographique
Artiste(s)/Concepteur(s): 
LONGPRÉ, Philomène
Année/date de parution: 
2001
«CYCLE (2001)est une installation interactive où l’action de tournoiement d’un gyroscope d’un mètre de diamètre, active sept différentes séquences d’un personnage virtuel qui sont projetées sur le plancher. Lorsque la présence du visiteur est détectée, le personnage prend forme et les traces de sa propre existence disparaissent simultanément. Perturbé par le changement dans son environnement, le personnage recherche un nouvel équilibre.

Playboy

Référence filmographique
Artiste(s)/Concepteur(s): 
BERNARD, Caroline / Sidonie Carrillat / Jean-Luc Marchina / Angela Marzullo / Damien Molineaux / Annelore Schneider / Jean-Louis Boissier
Année/date de parution: 
2003
«Le spectateur porte donc le masque de lapin, le même que celui des acteurs, et fait face à la caméra pilotable et à la projection. La caméra suit le spectateur qui peut ainsi agir, par l’intermédiaire de sa propre image, sur les scènes enregistrées et entrer dans un jeu de poursuite et de cache-cache avec son double.»
(www.ciren.org)