Cahiers Figura

Métarécit(s) et métaféminisme dans «La maison étrangère» d'Élise Turcotte. Esthétique de la ritualisation du corps féminin

Numéro de la publication:
26
Année de parution:
2011

Teintée de poésie et parsemée de métaphores, l'écriture de La maison étrangère, d'Élise Turcotte, a été décrite par Michel Biron comme se rapportant au «symbolisme soft» : «L'écriture cherche moins à ouvrir les vannes de l'imagination romanesque qu'à créer un univers symbolique à partir de l'expérience personnelle du monde.» Il est essentiel d'évoquer d'emblée ce symbolisme littéraire, notamment en ce qui concerne la description personnelle de la narratrice : «Cette femme entourée de significations, cette femme à côté d'un abîme, c'était donc moi. J'aimais, et il y avait des mots pour le dire. J'avais grandi, étudié; les livres qui m'entouraient en faisaient la preuve.» (ME, p. 46)

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Pour citer ce document:
Castonguay, Karine. 2011. « Métarécit(s) et métaféminisme dans «La maison étrangère» d'Élise Turcotte. Esthétique de la ritualisation du corps féminin ». Dans Les pensées «post-». Féminismes, genres et narration. Article d’un cahier Figura. En ligne sur le site de l’Observatoire de l’imaginaire contemporain. <https://oic.uqam.ca/fr/articles/metarecits-et-metafeminisme-dans-la-maison-etrangere-delise-turcotte-esthetique-de-la>. Consulté le 1 mai 2023. D’abord paru dans (Saint-Martin, Lori, Rosemarie Fournier et Moana Ladouceur (dir.). 2011. Montréal : Figura, Centre de recherche sur le texte et l'imaginaire. coll. Figura, vol. 26, p. 77-103).
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Figures et Imaginaires:
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