Recherche dans la filmographie: Simultané

«En modulant la vitesse de chaque moitié de la vidéo partagée en son centre, le spectateur peut obtenir des mises en regard singulières ou resynchroniser le film qui tourne en boucle, tout comme la grande roue, tout comme la jeune femme qui revient constamment à sa place. Deux temps successifs coexistent, le passé parle au futur.» (www.ciren.org)

«Sur un écran, des séquences d’un film « noir » se déploient au gré des manipulations autant que des interactions internes qui régissent le programme. Sur l’autre écran se dessine un graphe, pièce à conviction de la collaboration entre le programme et le spectateur.» (www.ciren.org)

«Le spectateur sera invité à pousser un «chariot» contenant un ordinateur portable, une paire d’enceintes et un récepteur «GPS». Il lui suffira ensuite de déambuler librement dans un espace défini tout en regardant l’écran où sont disposés une série de portraits vidéos. Des liens entre vidéos et données cartographiques ont été créés comme mise en scène. Ainsi en fonction des déplacements, l’ordinateur activera les films qui correspondront à sa position, et adaptera automatiquement le volume sonore grâce aux coordonnées transmises en permanence par le «GPS». En l’absence d’un début ou d’une fin, voire d’une durée indéterminée d’utilisation, cette «scénographie interactive» permettra de créer, en temps réel, des récits combinatoires.» (www.immediat.ch)

«En s'équipant de gants et de lunettes, le visiteur volontaire s'engage dans un duel -faussement virtuel avec un boxeur. Plus le joueur donne de coups, plus il repousse symboliquement son opposant [ralentissement puis disparition de l'image vidéo, assourdissement du son]. Par contre, toute passivité du joueur engendrera un déchaînement de violence visuelle et sonore, jusqu'à s'en prendre "plein la gueule". Les visiteurs de l'exposition deviennent alors le public d'un ring où s'épuise un spectateur joueur- boxeur solitaire.» (www.ensad.fr)

«Au Fond est une installation vidéo interactive nocturne projetée sur une vitrine de l’intérieur d’un magasin. Elle met en scène des vidéos de personnages, apparaissant en fonction du passage des piétons (au moyen d’un capteur de présence). C’est un projet urbain intime. Nous projetons l’extérieur (des passants marchant dans une rue, attirés par le contenu d’une vitrine) de l’intérieur pour des spectateurs à l’extérieur. Les vidéos accentuent cet effet d’arrivée de la profondeur de la boutique, au contact de la vitre et du passant. » (www.donaldabad.com)

«Touslesjours est une série de performances transgressant la monotonie du quotidien. Cette collection d’interventions se fait dans des lieux publics (rue, métro) et privés (cuisines). Elles sont toutes réalisées par un personnagesupport vêtu de blanc, vecteur de multiples désirs et fantasmes d’action sur un quotidien. Les interventions se font au moyen d’affichages, de jeux, de mises en scène, de détournements multiples de codes, avec une légèreté fondée et absurde.

Julie exécute une série de mouvements préenregistrés qui forment plusieurs embranchements. Le spectateur peut intervenir sur le montage à l'aide d'un «trackball». Cependant, la sensibilité du «trackball» étant intermittente, le spectateur ne sait pas quand ses actions auront un impact sur les embranchements du film. Il en résulte un montage intuitif. La durée de Julie peut varier entre trois et vingt minutes en fonction de l'action ou de l'inaction du spectateur avec le «trackball».

«It is 1919. Victor Tausk, a Vienese psychoanalyst examines a patient, Miss Natalija A. She tells him that her mind and body are being manipulated by a mysterious electrical apparatus operated secretly by physicans in Berlin.»

«Dans Modus Operandi le spectateur, considéré ici comme un lecteur ou un joueur, est invité à jouer avec des séquences vidéo-interactives composées de gestes simples: couper un citron, lancer une balle, allumer une cigarette, essuyer des lunettes. Toutes ces images peuvent être jouées par un même geste, celui de tourner un bouton à gauche ou à droite, en insistant ou pas.»
(www.paris-art.com)

«It offers viewers an immersive multi-modal interactive narrative experience dealing with the events leading up to the escape, recapture, trial and hanging of Ronald Ryan at Pentridge Prison, Melbourne in 1967, the last person publicly executed in Australia. »
(www.icinema.unsw.edu.au)