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«Face au visiteur un écran de moniteur basculé à l’horizontal. A l’image, une animation vidéo montrant l’intérieur d’une cuvette de toilette. Si le visiteur s’approche, un jet d’eau se déverse dans la cuvette. Si le visiteur se retire, la chasse d’eau s’actionne toute seule - retour à la première séquence. Un capteur au sol détecte la présence ou le retrait de celui qui se penche sur l’image initiale, déclenchant respectivement la simulation du jet et de la chasse.» (www.duzhenjun.com)

«Grâce à un joystick, le visiteur contrôle un faisceau lumineux.La lumière en mouvement sur le sol provoque le déplacement d'une foule qui cherche à attraper cette lumière, poussant par la-même d'autres foules dans I'ombre. Une lutte se livre alors sous les yeux du spectateur qui se retrouve ainsi a la place d'un dieu regardant le monde des humains.» (www.duzhenjun.com)

Une jeune fille qui répète un chant d'opéra prend lentement conscience du pouvoir de sa voix. En invitant le public à soutenir une note soprano avec elle, il sera possible de faire éclater des objets à l’écran. (Traduction à partir de www.koti.org)

«Mariée en toute sobriété, Francesca frise l'incident diplomatique avec sa belle-mère qui insiste sur un mariage à l'église... Avec un pied dans une maison de retraire, Erika se rend à une réunion de classe et y redécouvre son passé... Embarquée à la montage par ses parents, Lisa pose sa caméra sur un jeune serveur plutôt mignon... Dynamique, indépendante et enceinte, Agnès rencontre Flurin, un parfait spécimen de la population rurale... Toutes ces histoires se croisent dans cet univers simplement compliqué. DVD interactif!»
(www.artfilm.ch)

«Artificial Changelings (1998) fait appel au spectateur pour activer des tranches narratives qui correspondent aux points de vue des personnages dans le récit. Deux histoires se chevauchent. Arathusa vit au XIXe siècle. Elle est kleptomane et arpente les magasins à rayons. Cyber-pirate du XXIe siècle, Zilith apparaît dans un rêve d'Arathusa. Une série de zones balisées au sol indiquent la nature des points de vue dans lesquels le spectateur peut s'engager.»
(www.fondation-langlois.org)

«Passage Sets / One Pulls Pivots at the Tip of the Tongue (1995) is an interactive installation that functions as an elaborate navigable audio/visual poem.Three projections comprise the installation, where one video and two data projections are presented as a triptych. The central projection enables the participant to navigate through a 150-image panorama with text superimposed over the image. The participant can navigate spatially by moving over the surface of the images - move left, right, up and down through an image grid presented on the central screen.

«Participants can use this digital machine to generate, in real-time, virtual surroundings out of different digital elements, within which they can then navigate. 3-D objects can be selected, put in scale, given texture; pictures and videos can be placed and repeatedly rearranged in an ever growing world; music, as well as written and spoken texts, change the projected world into an audio-visual space of experience.» (www.p0es1s.net)

Le joueur doit tenter d'empêcher le protagoniste d'atteindre son but en touchant au bon moment les objets l'entourant étant momentanément identifiés "jinxed" (persécuté, maudit, accablé par le sort).

Family Portrait propose, tout comme Portrait One, une interaction avec un personnage virtuel. Cepandant, Family Portrait pousse la relation entre personnage virtuel et spectateur à un autre niveau. Cette fois ci, il est possible d'atteindre une niveau d'intimité avec le personnage, voir devenir sont confident.