Recherche dans la filmographie: Écran Intégré
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Référence filmographique
Artiste(s)/Concepteur(s):
Année/date de parution:
1990-95
Conversation virtuelle avec une jeune femme. Le joueur choisit entre plusieurs questions et répliques auxquelles la femme répond ou réagit.
Référence filmographique
Artiste(s)/Concepteur(s):
Année/date de parution:
1994-95
La photo d'un couple marchant sur une avenue achalandée de Chicago peut être vue sous plusieurs angles. Chacun d'eux offre une séquence vidéo se déroulant dans d'autres lieux, changeant la perspective du joueur.
Référence filmographique
Artiste(s)/Concepteur(s):
Année/date de parution:
1997
Un menu propose différentes incursions dans la mémoire de Marker, l'un de ses thèmes fétiches. L'exploration est aléatoire et présente des photos, du texte et des extraits de films chers à l'auteur/artiste.
Référence filmographique
Artiste(s)/Concepteur(s):
BROWN, Neil / Dennis Del Favero / Jeffrey Shaw / Peter Weibel
Année/date de parution:
2001
À l'intérieur d'un dôme immersif, le joueur voit des projections (en temps réel et pré-enregistrées) de matériau télévisuel. Par touchscreen, il peut choisir une projection puis l'amalgamer à d'autres. Des senseurs contibuent à l'immersion puisque le joueur est pour l'occasion coiffé d'un casque envoyant un signal à ceux-ci. L'expérience est donc complètement audio-visuelle et immersive.
Référence filmographique
Artiste(s)/Concepteur(s):
Année/date de parution:
1999
Le film présente un square réel où peuvent évoluer 37 personnages potentiels. Le programme sélectionne des combinaisons de cinq personnages et le joueur, en cliquant l'un d'eux, le fait disparaître au profit d'un autre. Les combinaisons sont évidemment nombreuses et chacun des personnages possède un leitmotiv musical individuel de même que des gestes précis renvoyant au quotidien du square, le tout créant, par utilisations répétées, un "deconstructed jazz ballet".
Référence filmographique
Artiste(s)/Concepteur(s):
Année/date de parution:
1998
L'écran est partagé en neuf éléments narratifs présentant une scène de bonheur (d'où le titre Bliss, inspiré d'une nouvelle de Katherine Mansfield) : un bébé heureux ; un bain chaud ; un gramophone produisant une douce musique ; ... Ces neuf scènes finissent cependant par être en proie au chaos et c'est au joueur de rétablir l'ordre en touchant stratégiquement l'écran. Par exemple, toucher la partie "bébé" calmera le bébé.
Référence filmographique
Artiste(s)/Concepteur(s):
Année/date de parution:
1999
Len est un vieil homme racontant à la caméra vingt anecdotes. Il fait parfois des pauses, obligeant le joueur à toucher l'écran pour sortir Len de sa torpeur, à défaut de quoi, ce dernier enchaînera avec une autre histoire, privant le spectateur de la suite.
Référence filmographique
Artiste(s)/Concepteur(s):
Année/date de parution:
1998
Le joueur doit tenter de découvrir, en les touchant, des objets contenus dans l'appartement du protagoniste susceptibles de créer du désordre et condamnant le locataire à constamment tout remettre en place.
Référence filmographique
Artiste(s)/Concepteur(s):
Année/date de parution:
1996
En touchant, via l'écran, les miroirs ou les sources de lumière, le joueur en apprend un peu plus sur le château (clin d'oeil à Man Ray) et ses habitants. Les miroirs s'attachent à montrer le passé tandis que les sources de lumière montreront le futur. En touchant un personnage, le joueur se verra offrir un vers de poésie. "A limited number of interaction moments".
Référence filmographique
Artiste(s)/Concepteur(s):
Année/date de parution:
1998
Des images de la nature, trente en tout, sont présentées en boucle jusqu'à ce que le joueur, via un écran tactile, parvienne à toucher l'élément qui provoquera un dénouement.
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