Je vous espionne de ma fenêtre, promeneuse qui avez un chien. Vous progressez et l’air autour de vous construit des cercles contre lequels mon regard se heurte sans pouvoir y trouver la porte.
Vous et le chien, vivant sans doute sur une autre planète où l’homme que je suis quoiqu’il en pense n’a pas accès
ni de près ni de loin.
ni de près ni de loin….